Devenir formateur indépendant : un métier d’avenir

A y voir de plus près, le métier de formateur offre, à l’instar d’une certaine indépendance dans le travail, la possibilité de gagner sa vie plus dignement.


Le travail en « solo » reste une opportunité pour ne pas être sous les ordres de qui que ce soit, d’être libre dans l’initiative privée. C’est à ce titre que je l’ai choisie, car je m’y identifie pleinement même si ce métier connaît des hauts des bas. Il me faut tout d’abord trouver une bonne société de portage, qui me prendra certes 10 à 20% de mes revenus, mais me permettra d’être considéré comme un de leurs formateurs. Ainsi, j’établis un devis pour mon client et elle s’occupera de le facturer. Aussi, elle peut m’établir un bulletin de salaire et un virement mensuel avec un contrat à durée déterminée.

Pour devenir formateur indépendant, il me faut beaucoup de temps, d’énergie et de relations. Cependant, ce métier me permet si j’ai un statut spécifié de gagner bien plus que quand je suis sous la tutelle d’une société de portage. Aussi, pourrai-je bénéficier, en tant que demandeur d’emploi d’une allocation assez importante pour me permettre de créer ma propre société. Avec ces exigences d’ouverture, de qualités commerciales ou psychologiques, je me dois d’élargir mon réseau et cela peut se faire très facilement de bouche à oreille à travers parents, amis, ou des relations dans ma ville. Ainsi, il me faudra trouver une liste conséquente de clients pour la promotion de mon activité.

Le métier de formateur indépendant, de l’anglais « Freelancer » reste sans doute un métier d’avenir pour ceux qui ne s’insèrent pas ou mal dans le monde du travail. Elle offre une liberté d’initiative qui garantit la réussite uniquement si l’on est engagé et dynamique.

 

 

 

 

 

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